Astrophysique

Calcul du moment du début de l’existence de la lumière dans l’univers

5 avril 2022

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 17 pages)

Lien vers l'article publié dans "Applied Physics Research"

Une nouvelle physique expliquerait ce qui semble être une tension irréconciliable entre les valeurs de constantes de Hubble et permettrait de calculer théoriquement H₀ de plusieurs manières

26 octobre 2021

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 52 pages)

Lien vers l'article publié dans "Journal of Modern Physics"

Plusieurs manières de calculer théoriquement la constante gravitationnelle universelle G et des splines cubiques pour vérifier sa valeur mesurée

24 septembre 2020

Afficher la description complète

En 1686, Newton découvrait les lois de la gravitation et prédisait la constante gravitationnelle universelle G = 7×10^-11 m³/(kg*s). En 1798, avec une balance à torsion, Cavendish mesurait G = 6,754×10^-11 m³/(kg*s).

En raison de la faible intensité de la gravitation, il est difficile d’obtenir des mesures fiables car elles sont perturbées par les masses avoisinantes et par les phénomènes environnementaux. La physique moderne est incapable de lier G avec les autres constantes. Cependant, dans un article de 2019, avec un nouveau modèle cosmologique, nous avons montré que G semble relié aux autres constantes, et nous avons obtenu une valeur théorique de G = 6,673229809(86)×10^-11 m³/(kg*s).

Ici, nous voulons montrer que notre valeur théorique de G est la bonne en interprétant des mesures de G à l’aide d’une nouvelle technique en utilisant des splines cubiques. Nous faisons l’hypothèse que la plupart des mesures sont affectées par une erreur systématique qui crée deux groupes de données. Nous obtenons G = 6,673262(60)×10^-11 m³/(kg*s) comme valeur mesurée.

Sachant que la valeur théorique de G est en accord avec la valeur mesurée, nous voulons établir un lien direct entre G et autant d’autres constantes que possible pour montrer, avec 33 équations que G est probablement lié avec la plupart des autres constants dans l’univers. Ces équations peuvent être utiles pour les astrophysiciens qui travaillent dans le domaine.

Comme nous avons été en mesure de lier G avec le paramètre de Hubble H₀ (qui évolue puisque son inverse donne l’âge apparent de l’univers), nous en déduisons que G n’est probablement pas une vraie constante. Sa valeur varie probablement dans le temps et l’espace. Cependant, à notre emplacement dans l’univers et pour une période relativement courte, ce paramètre peut sembler constant.

La version anglaise de ce document a été publiée dans "Journal of Modern Physics":

Mercier Claude, "Several Ways to Calculate the Universal Gravitational Constant G Theoretically and Cubic Splines to Verify Its Measured Value", Journal of Modern Physics,
Vol. 11 No. 9, September 2020, pp. 1428-1465. http://doi.org/10.4236/jmp.2019.106046

Télécharger le document (FR / 41 pages)

Lien vers l'article publié dans "Journal of Modern Physics"

Calcul du quantum d'angle

1 janvier 2020

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 9 pages)

Calcul de la masse de l'univers, du rayon de l'univers, de l'âge de l'univers et du quantum de vitesse

19 juillet 2019

Afficher la description complète

L’univers est vaste et lorsque nous regardons le ciel, ses paramètres (dimensions, masses, et âge) semblent sans limites. Lemaître a proposé que l’univers ait commencé d’un atome primaire lequel sera plus tard ironiquement surnommé par Hoyle "Big Bang" dans une émission de la BBC en 1949. À partir de la relativité, Einstein a proposé un modèle cosmologique avec un univers spatialement fini. Il a assumé une distribution uniforme de la matière dans une grosse sphère en 4 dimensions. Même si ses équations montraient que l’univers était soit en contraction ou en expansion, Einstein a introduit une “constante cosmologique” dans son équation pour forcer l’univers à être statique (en étant consistant avec le courant de pensée de son temps). En 1929, à partir d’observations de galaxies, Hubble a trouvé que l’univers était en expansion. À partir de ce moment, Einstein a écarté sa constante cosmologique comme un facteur arbitraire inutile. Plusieurs modèles cosmologiques ont été construits depuis ce temps. Chacun d’eux excelle dans l’explication de certains aspects de l’univers. Nous considérons que la topologie globale de l’univers n’est pas connue, mais en faisant les assomptions qu’il est relativement homogène et isotopique, sa topologie locale extrapolée nous mène à quelques paramètres “apparents. À partir de notre modèle cosmologique, nous calculons les principaux paramètres de l’univers qui sont la masse apparente m_u, son rayon de courbure apparent R_u, son âge apparent T_u et le ″quantum de vitesse″ ε_v. Le quantum de vitesse est une nouvelle notion en physique. Il représente le plus petit incrément de vitesse qui puisse exister. Pour des besoins de métrologie, nous calculons ces paramètres à partir des plus précis paramètres de physique disponibles.

m_u ≈ 1,73×10⁵³ kg R_u ≈ 1,28×10²⁶ m
T_u ≈ 13,65×10⁹ ans ε_v ≈ 2,38×10^-114 m/s

La version anglaise de ce document a été publiée dans "Journal of Modern Physics":

Mercier Claude, "Calculation of the Mass of the Universe, the Radius of the Universe, the Age of the Universe and the Quantum of Speed", Journal of Modern Physics,
Vol. 10 No. 8, July 2019, pp. 980-1001. http://doi.org/10.4236/jmp.2019.106046

Télécharger la traduction du document (FR / 28 pages)

Lien vers l'article publié dans "Journal of Modern Physics"

Calcul de la constante gravitationnelle universelle, de la constante de Hubble et de la température moyenne du fond diffus de l'univers

24 mai 2019

Afficher la description complète

Dirac a fait l’hypothèse que tous les grands nombres sans dimensions qui pouvaient être construits à partir des unités naturelles importantes de cosmologie et de la théorie atomique étaient liés [1][2]. Bien que Dirac n’ait pas réussi à faire égaler exactement tous ces nombres, il se doutait qu’il y avait un moyen de tous les unifier.

L’hypothèse de Dirac mène à la constante N qui unifie la plupart des paramètres de physique. Elle représente le nombre maximal de photons qui possèdent une longueur d’onde égale à la circonférence de l’univers. En utilisant un nouveau modèle cosmologique, nous avons trouvé la constante β qui représente le rapport entre la vitesse d’expansion de la matière dans l’univers et la vitesse de la lumière. Avec ces constantes, nous pouvons calculer précisément plusieurs paramètres physiques, incluant la constante gravitationnelle universelle G, la constante de Hubble H0, et la température moyenne du fond diffus de l’univers (CMB de l’anglais Cosmological Microwave Background). Nos équations montrent que G, H0 et T ne sont pas vraiment constants à travers l’espace et le temps.
G ≈ 6,673229809(86)×10^-11 m³/(kg*s)
H₀ ≈ 72,09548580(32) km/(s*MParsec)
N ≈ 6,303419702(84)×10¹²¹
T ≈ 2,7367958(16) K

La version anglaise de ce document a été publiée dans "Journal of Modern Physics":

Mercier Claude, "Calculation of the Universal Gravitational Constant, of the Hubble Constant, and of the Average CMB Temperature", Journal of Modern Physics,
Vol. 10 No. 6, Mai 2019, pp. 641-662. http://doi.org/10.4236/jmp.2019.106046

Télécharger la traduction du document (FR / 28 pages)

Lien vers l'article publié dans "Journal of Modern Physics"

Calcul théorique de la constante cosmologique et de la densité «d'énergie noire» dans l'univers

25 décembre 2018, Rév. 19 mars 2019

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 15 pages)

Un observateur voyageant à la vitesse de la lumière percevrait l'univers comme étant de la grosseur de la longueur de Planck

9 mars 2018, Rév. 17 juin 2018

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 6 pages)

Calcul de la vitesse de déplacement d'un électron dans le vide

1 mars 2018

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 7 pages)

Calcul de l'accélération de l'expansion de l'univers

4 août 2017, Rév. 1 juillet 2018

Afficher la description complète

En 1929, grâce à ses observations astronomiques, Hubble fut le premier à découvrir que l’univers est en expansion. Plus récemment, les astrophysiciens ont constaté que la vitesse d’expansion de l’univers n’était pas uniforme au cours du temps et que l’expansion semblait être en accélération au cours du temps.

L’univers prend de l’expansion, ce qui fait ralentir la vitesse de rotation angulaire de l’univers. De plus, à chaque fois qu’il y a transformation d’énergie dans l’univers, l’entropie (mesure de la quantité de désordre) augmente au cours du temps (comme un effet de friction qui ralentit une roue). Nous pourrions être enclins à croire que l’augmentation de l’entropie de l’univers cause l’expansion de l’univers, cependant, ce n’est pas le cas. L’augmentation de l’entropie dans l’univers n’est pas la cause de l’expansion de l’univers, mais la conséquence du fait que les forces n’existent pas et que l’univers est en expansion.

En supposant simplement que la force gravitationnelle n’existe pas (ce n’est qu’un concept mathématique pratique) et qu’elle peut être expliquée par un concept de pression de radiation, il est possible d’expliquer pourquoi l’univers est en expansion. Notre hypothèse permet d’expliquer pourquoi l’expansion de l’univers accélère et de calculer la valeur de cette accélération. Elle permet aussi de savoir que l’accélération de l’expansion de l’univers diminue au cours du temps pour éventuellement tendre vers zéro. Lorsque la limite du rayon de courbure apparent de l’univers tendra vers l’infini, plus aucune interaction entre les différents photons contenus dans l’univers n’aura lieu. L’univers continuera alors son expansion à une vitesse constante que nous nommons arbitrairement « k » (faisant référence à notre premier article) et qui est supérieure à la vitesse de la lumière dans le vide « c » actuelle.

La « force d’attraction gravitationnelle » telle que vue par Newton et la « déformation d’espace-temps » d’Einstein expliquent le même phénomène d’accélération d’un objet vers un autre associé à la gravitation. Ce phénomène de gravitation n’est pas vraiment un phénomène fondamental lié à l’expansion de l’univers. Elle n’est qu’un effet secondaire qui apparaît en raison du fait que nous sommes habitants de l’univers et que nous baignons dans un énorme bain de photons de différentes longueurs d’ondes.

Tout comme pour l’entropie, la flèche du temps est causée par le fait que les forces n’existent pas et que l’univers est dans un processus d’expansion à l’infini. Il n’y aura jamais de « big crunch » et le cours du temps ne pourra pas s’inverser. Le désordre de l’univers, c’est-à-dire son entropie, ainsi que le temps ne peuvent qu’augmenter parce que les forces n’existent pas.

Télécharger le document (FR / 25 pages)

Calcul de la masse associée au photon au repos

22 mars 2017, Rév. 25 juin 2017

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 9 pages)

Calcul du moment de l'apparition de la lumière dans l'univers

13 août 2016, Rév. 22 mars 2017

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 15 pages)

Plus d'une centaine de manières d'obtenir le grand nombre N

20 mars 2016, Rév. 6 mai 2019

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 26 pages)

L'intrication quantique serait un minuscule trou de ver

20 septembre 2015, Rév. 17 octobre 2015

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 8 pages)

Modèle expliquant la force gravitationnelle

22 août 2015, Rév. 10 avril 2020

Afficher la description complète

L’équation de gravitation universelle de Newton est largement utilisée dans les calculs en ingénierie et en astrophysique, car elle est simple à utiliser et demande peu de connaissances mathématiques. C’est une équation simple qui décrit bien les phénomènes gravitationnels à basse vitesse et pour de faibles champs gravitationnels. Bien que la relativité générale d’Einstein supplante largement l’équation de gravitation universelle de Newton en termes de précision, cela se fait au prix d’équations demandant un lourd attirail mathématique. En raison de sa simplicité déconcertante, la théorie de Newton demeure la première théorie de base qui est la plus enseignée dans les collèges et universités.

Plusieurs tentatives ont été entreprises pour comprendre les fondements réels du phénomène de la gravitation, mais aucun ne répond à toutes les questions suivantes : Est-ce que les lois de la gravitation sont réellement identiques partout? Est-ce que la gravitation est due à une particule telle que le graviton? Est-ce que la gravitation se transmet à la vitesse de la lumière ou est-elle instantanée? Est-ce que la gravitation s’appliquerait en dehors de notre univers? Est-ce que notre univers, après une phase d’expansion, aura ensuite une phase de contraction qui se terminera en un Big Crunch?

Ce document a pour but de montrer qu’il est possible de donner un fondement logique à la gravitation universelle de Newton. Nous montrerons qu’en fait, la force d’attraction gravitationnelle n’est qu’un concept et les forces n’existent pas. Nous baignons dans un bain de photons de différentes longueurs d’onde qui nous percutent dans tous les sens et à tous moments. Ces impacts répétés créent une pression de radiation qui n’est pas forcément identique partout dans l’univers. Tout comme dans une piscine, plus nous sommes plongés profonds dans l’univers, plus la pression de radiation est intense. Selon notre théorie, les objets ne sont pas attirés les uns vers les autres, mais au contraire, ils sont poussés les uns sur les autres par la pression de radiation qui nous entoure. En utilisant ce concept, il est possible de calculer l’accélération transmise aux objets. En circonscrivant les expériences dans un cadre précis (les objets sont macroscopiques, se déplacent à basse vitesse, les distances entre les objets sont faibles et les champs gravitationnels impliqués sont faibles) et en faisant exister le concept de force, nous obtenons l’équation de la force gravitationnelle universelle de Newton.

Télécharger le document (FR / 15 pages)

Modèle expliquant la force électrostatique

19 août 2015, Rév. 13 septembre 2015

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 11 pages)

La vitesse de la lumière, les masses, les dimensions et le temps sont influencés par les champs gravitationnels

2 février 2015, Rév. 17 octobre 2015

Afficher la description complète

Le principe de conservation des masses de la mécanique classique est couramment utilisé en physique et en chimie. Cependant, ce principe n’est qu’une bonne approximation de la réalité et n’est valide que dans un cadre spécifique donné. En effet, tout comme les équations de Newton, ce principe néglige les effets relativistes. Il est valide à la condition que les vitesses des objets impliqués soient relativement faibles et que les champs gravitationnels environnant soient relativement faibles.

Grâce aux équations de la relativité restreinte, Einstein montra, en 1911, que la vitesse de la lumière pouvait être influencée par un champ gravitationnel. Cependant, même si l’idée qu’il énonça à l'époque était bonne, l’équation qu’il trouva grâce à la relativité restreinte dut être rectifiée par la suite d’un facteur 2 suite à ses travaux sur la relativité générale. Grâce à la relativité générale, Schwarzschild montra que la vitesse de la lumière diminue en présence d’un champ gravitationnel intense. Ce phénomène est d’ailleurs à la base de l’existence des lentilles gravitationnelles qui fût, depuis, amplement vérifié.

Sachant que les équations de Newton sur l’énergie potentielle sont valides à faible vitesse et en utilisant l’équation de Schwarzschild qui donne la vitesse de la lumière en fonction du champ gravitationnel environnant, il est possible de montrer qu’une masse soumise à un champ gravitationnel voit sa valeur relative (par rapport à la masse hors champ gravitationnel) diminuer en raison de la variation de l’indice de réfraction du vide. Selon nous, ce même phénomène (purement relativiste)s’applique aussi au temps et aux dimensions de l’espace. Nous montrerons que les masses et le temps sont inversement proportionnels à l’indice de réfraction du vide n tout comme la vitesse de la lumière. Les dimensions de l’espace, quant à elles, sont directement proportionnelles à n.

Télécharger le document (FR / 13 pages)

Calculs et interprétation des différentes unités de Planck

13 octobre 2014, Rév. 17 octobre 2015

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 22 pages)

Variations des "constantes de physique" au cours du temps

16 mars 2014, Rév. 27 décembre 2015

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 29 pages)

Décalage des longueurs d'onde du spectre électromagnétique au cours du temps

25 décembre 2013, Rév. 17 octobre 2015

Afficher la description complète

En 1929, Edwin Powell Hubble constata, par observation des galaxies, que l'univers était en expansion. Les galaxies, indépendamment de leurs mouvements propres, se fuyaient les unes les autres à des vitesses d'autant plus grandes qu'elles étaient éloignées les unes des autres.

De nos jour, les astrophysiciens mesure précisément les vitesses d'éloignement relatives des différentes galaxies à l'aide de l'effet Doppler. Un décalage vers le rouge du spectre optique des étoiles signifie que celles-ci s'éloignent de nous. À l'inverse, un décalage vers le bleu du même spectre signifie que celles-ci s'approchent de nous.

Dans ce travail, nous montrerons que tout le spectre électromagnétique subit un décalage vers des longueur d'ondes de plus en plus grandes, et ce, quelque soit la longueur d'onde et quelque soit la direction des déplacement relatifs des différentes galaxies. Ce phénomène est directement lié à l'expansion de l'univers et au fait que la lumière accélère au cours du temps. De plus, ce phénomène peut sembler indécelable en raison du fait que les longueurs d'onde sont toujours prises par rapport aux longueurs d'onde émises par notre propre Soleil ou par d'autres sources lumineuses terrestre qui nous servent de référence. De plus, nous verrons que même les longueurs étalons mécaniques ne peuvent pas servir pour mesurer ce décalage puisque ces mêmes longueurs étalons son affectées par l'expansion de l'univers. Pour l'instant, seules les variations par rapport au spectre de référence peuvent être détectées (par effet Doppler).

Étant donné que la fréquence des photons demeure stable dans le temps malgré l'accélération de la lumière et malgré le décalage du spectre électromagnétique au cours du temps, il semble possible de faire une horloge stable dans le temps qui ne soit pas influencée par le changement d'indice de réfraction du vide, pour autant que celle-ci soit uniquement basée sur la fréquence d'oscillation du photon.

Télécharger le document (FR / 12 pages)

Liens entre la température de Beckenstein-Hawking et la température de Hagedorn

16 décembre 2013, Rév. 17 octobre 2015

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 9 pages)

Calcul du rayon de courbure apparent de l'univers

9 juin 2013, Rév. 17 octobre 2015

Afficher la description complète

Depuis le début de son existence, l’univers est en expansion. Son expansion se fait à la vitesse de la lumière, du moins pour sa partie lumineuse. Si l’univers est une immense sphère en expansion à la vitesse de la lumière c dans le vide, son rayon de courbure apparent R_u peut facilement être déduit en faisant le produit de la vitesse c par l’âge apparent de l’univers (correspondant à l’inverse de la constante de Hubble H₀₀).

La valeur calculée ne correspond pas nécessairement à la réalité. En effet, la notion de « rayon de courbure » que nous utilisons est locale. Si l’univers est sphérique, ce rayon correspond au rayon de la sphère. Si l’univers possède une morphologie plus complexe (par exemple, la forme d’une cacahuète ou d’un tore), le rayon de courbure correspond alors à une notion locale que nous essayons d’associer à une sphère et ne peut nullement s’étendre au reste de l’univers. Le paramètre calculé correspond cependant à une certaine réalité qui peut être associée à notre univers, du moins localement.

Le fait que nous qualifions d’ « apparent » le rayon de courbure R_u fait référence au fait que le rayon calculé n’est vrai que pour la vitesse de la lumière actuelle c. Comme nous prétendons que la lumière accélère au cours du temps en raison de l’expansion de l’univers, il se peut que la véritable distance parcourue depuis sa création soit différente de celle calculée. Le rayon de courbure « apparent » que nous calculons ici équivaut à trouver le rayon de courbure d’une sphère qui serait en expansion à une vitesse constante égale à la vitesse de la lumière actuelle c.

Dans ce document, nous proposerons différentes méthodes pour calculer R_u. Une des meilleures méthodes que nous trouverons montrera qu’il existe une étroite relation entre l’infiniment grand (l'univers) et l’infiniment petit (au niveau de l'électron). Nous montrerons que R_u ≈ 1,2831078806±0,0000000068×10²⁶ m.

Grâce aux lois de la relativité d'Einstein, nous savons qu'il est impossible que l’univers matériel soit en expansion à la vitesse c, sinon l'énergie requise serait infinie. Nous calculerons donc le rayon de courbure apparent R_u qui correspond à notre position apparente actuelle par rapport à l’origine apparente de la sphère d’expansion de l’univers. Nous montrerons que R_u ≈ 9,802071983±0,000000052×10²⁵ m.

De plus, nous calculerons aussi le rayon apparent de l’horizon de l’univers r_H₀ ≈ 6,058013646±0,000000032×10²⁵ m.

Télécharger le document (FR / 19 pages)

Solution à la mystérieuse équation de Weinberg

2 avril 2013, Rév. 17 octobre 2015

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 7 pages)

Calcul de la constante gravitationnelle universelle G

13 mars 2013, Rév. 17 octobre 2015

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 13 pages)

Hypothèse sur les grands nombres de Dirac menant à la constante de Hubble et à la température du fond diffus de l'univers

4 février 2013, Rév. 17 octobre 2015

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 13 pages)

Calcul du quantum de vitesse et de la vitesse maximale des objets

14 janvier 2013, Rév. 24 septembre 2015

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 8 pages)

Calculs de la température moyenne du fond diffus de l'univers et de la constante de Hubble

9 juillet 2012, Rév. 27 août 2016

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 11 pages)

Calcul de la masse apparente de l'univers

5 juin 2012, Rév. 4 mai 2019

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 14 pages)

Calcul de l'âge de l'univers

9 avril 2012, Rév. 4 mai 2019

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 14 pages)

La vitesse de la lumière n’est peut-être pas constante

8 octobre 2011, Rév. 4 mai 2019

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 27 pages)

La vitesse de la lumière n’est peut-être pas constante (document de vulgarisation)

8 oct. 2011, Rév. 4 déc. 2012

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR / 20 pages)

La vitesse de la lumière n’est peut-être pas constante (présentation Power Point)

8 octobre 2011

Afficher la description complète

Télécharger le document (FR)

Auteur: Claude Mercier, ing.

Courriel: claude.mercier@cima.ca

Questions, commentaires? Envoyer un courriel à l'auteur.

Droits d'auteur

Il est permis d'utiliser, de publier et de copier tous les documents suivants en respectant les droits d'auteur. Le nom de l'auteur, le titre de l'ouvrage ainsi que la source doivent obligatoirement être mentionnés. Advenant la publication d'un ouvrage, il serait apprécié d'informer l'auteur par courriel. Celui-ci sera alors en mesure de fournir le document en format original Word si requis pour des fins de formatage.

Limites de responsabilité

Les documents ci-dessous représentent un legs intellectuel. Les auteurs, Pragtec et le groupe de génie-conseil Cima+ ne pourront être tenus responsables, directement ou indirectement, de l'utilisation du contenu de ces documents. Si une erreur est détectée dans un document, bien vouloir faire parvenir vos commentaires à l'auteur.

Calcul du moment du début de l’existence de la lumière dans l’univers

5 avril 2022

Une nouvelle physique expliquerait ce qui semble être une tension irréconciliable entre les valeurs de constantes de Hubble et permettrait de calculer théoriquement H0 de plusieurs manières

26 octobre 2021

Plusieurs manières de calculer théoriquement la constante gravitationnelle universelle G et des splines cubiques pour vérifier sa valeur mesurée

24 septembre 2020

Calcul du quantum d'angle

1 janvier 2020

Calcul de la masse de l'univers, du rayon de l'univers, de l'âge de l'univers et du quantum de vitesse

19 juillet 2019

Calcul de la constante gravitationnelle universelle, de la constante de Hubble et de la température moyenne du fond diffus de l'univers

24 mai 2019

Calcul théorique de la constante cosmologique et de la densité «d'énergie noire» dans l'univers

25 décembre 2018, Rév. 19 mars 2019

Un observateur voyageant à la vitesse de la lumière percevrait l'univers comme étant de la grosseur de la longueur de Planck

9 mars 2018, Rév. 17 juin 2018

Calcul de la vitesse de déplacement d'un électron dans le vide

1 mars 2018

Calcul de l'accélération de l'expansion de l'univers

4 août 2017, Rév. 1 juillet 2018

Calcul de la masse associée au photon au repos

22 mars 2017, Rév. 25 juin 2017

Calcul du moment de l'apparition de la lumière dans l'univers

13 août 2016, Rév. 22 mars 2017

Plus d'une centaine de manières d'obtenir le grand nombre N

20 mars 2016, Rév. 6 mai 2019

L'intrication quantique serait un minuscule trou de ver

20 septembre 2015, Rév. 17 octobre 2015

Modèle expliquant la force gravitationnelle

22 août 2015, Rév. 10 avril 2020

Modèle expliquant la force électrostatique

19 août 2015, Rév. 13 septembre 2015

La vitesse de la lumière, les masses, les dimensions et le temps sont influencés par les champs gravitationnels

2 février 2015, Rév. 17 octobre 2015

Calculs et interprétation des différentes unités de Planck

13 octobre 2014, Rév. 17 octobre 2015

Variations des "constantes de physique" au cours du temps

16 mars 2014, Rév. 27 décembre 2015

Décalage des longueurs d'onde du spectre électromagnétique au cours du temps

25 décembre 2013, Rév. 17 octobre 2015

Liens entre la température de Beckenstein-Hawking et la température de Hagedorn

16 décembre 2013, Rév. 17 octobre 2015

Calcul du rayon de courbure apparent de l'univers

9 juin 2013, Rév. 17 octobre 2015

Solution à la mystérieuse équation de Weinberg

2 avril 2013, Rév. 17 octobre 2015

Calcul de la constante gravitationnelle universelle G

13 mars 2013, Rév. 17 octobre 2015

Hypothèse sur les grands nombres de Dirac menant à la constante de Hubble et à la température du fond diffus de l'univers

4 février 2013, Rév. 17 octobre 2015

Calcul du quantum de vitesse et de la vitesse maximale des objets

14 janvier 2013, Rév. 24 septembre 2015

Calculs de la température moyenne du fond diffus de l'univers et de la constante de Hubble

9 juillet 2012, Rév. 27 août 2016

Calcul de la masse apparente de l'univers

5 juin 2012, Rév. 4 mai 2019

Calcul de l'âge de l'univers

9 avril 2012, Rév. 4 mai 2019

La vitesse de la lumière n’est peut-être pas constante

8 octobre 2011, Rév. 4 mai 2019

La vitesse de la lumière n’est peut-être pas constante (document de vulgarisation)

8 oct. 2011, Rév. 4 déc. 2012

La vitesse de la lumière n’est peut-être pas constante (présentation Power Point)

8 octobre 2011

Auteur: Claude Mercier, ing.

Courriel: claude.mercier@cima.ca

Droits d'auteur

Limites de responsabilité

Une nouvelle physique expliquerait ce qui semble être une tension irréconciliable entre les valeurs de constantes de Hubble et permettrait de calculer théoriquement H₀ de plusieurs manières